Ensuite l'imbrication des spirales, elles sont
toujours reproduites à une échelle plus petites, on appelle cela le principe
des fractales. En agrandissant la fractale de Mandelbrot, on retrouve toujours
le même motif mais à une échelle plus petite.
En mathématique, il y a la notion de
l'infini, et la fractale de Mandelbrot, appliquée à l'infini permet de
reproduire le motif à l'infini (les ordinateurs ont leur limite, cela fait qu'à
un moment on ne peut plus zoomer).
Avec deux concepts abstraits dans un
légume bien connu, on devrait se poser la question, comment des notions
abstraites existent-elles dans la nature sur un légume ?
Si nous voyons un cœur entouré
d'initiales taillé dans la roche ou peint sur un mur de béton, nous savons que
c'est un être intelligent qui en est à l'origine.
Il y a quelques décennies, on pouvait
voir des motifs dans des champs de blé, et les instigateurs de clamer que
c'était des extra-terrestres qui étaient venus durant la nuit pour créer le
motif en brisant et pliant les tiges de blé.
Alors lorsqu'on réfléchi au chou
romanesko, on est bien en droit de s'interroger : « Qui a produit
cela ? Ce n'est raisonnablement pas du hasard !
Mais comme un tableau a un peintre, une
chaise un menuisier, un pot un potier, le chou romanesko a un créateur, et il
s'appelle l'Éternel le DIEU de la Bible.
Georges Hermann
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