Des concepts bibliques dans l’écriture
chinoise
Les caractères chinois contiennent les
vérités chrétiennes fondamentales.
Ces écrits datant de plus de 4000 ans racontent
l’histoire de la création, de la tentation, de la chute de l’homme, et de la
solution que Dieu a pourvu pour remédier au problème du péché : Les
sacrifices d’animaux qui annonçaient la future venue du sauveur Jésus Christ.
Malheureusement, les chinois ont
rapidement abandonné le vrai Dieu et ont sombrés dans l’idolâtrie comme les
autres peuples.
Genèse
10 v 18 : « Canaan eut pour
fils Sidon, son aîné, et Heth. De lui descendent les Yebousiens, les Amoréens,
les Guirgasiens, les Héviens, les Arqiens et les Siniens »…
Il est fort probable que les siniens
soient les chinois.
Actes
17 v 26 à 28 : « Il (DIEU) a
fait que tous les hommes, sortis d’un seul sang,
habitent sur toute la surface de la terre, ayant déterminé la durée des temps
et les bornes de leur demeure , Il a voulu qu’ils cherchent le Seigneur,
et qu’ils s’efforcent de le trouver en tâtonnant, bien qu’Il ne soit pas loin
de chacun de nous, car en lui nous avons la vie, le mouvement, et l’être. C’est
ce qu’ont dit aussi quelques–uns de vos poètes : De lui nous sommes la
race »…
Voici en haut le verbe « créer », et en bas, les lettres qui le composent, exprimant les concepts suivants : Dieu crée par sa Parole (Logos), Il a formé Adam de la poussière du sol, lui a donné la vie, et celui-ci a marché.
Dans le verbe « convoiter », il y a deux arbres (l’arbre de vie et celui de la connaissance du bien et du mal), et une femme, Eve notre mère à tous. (Voir l’étude sur ce sujet).
Le mot « bateau » est défini comme contenant huit personnes (littéralement, bouches). (Voir l’étude sur ce sujet).
Après la division de l’humanité par les langues, le groupe qui parlait chinois venant de l’ouest (Mésopotamie), a marché jusqu’à son territoire actuel.
Et ils se dirent entre eux :
Allons, faisons des briques et cuisons–les au feu. Et la brique leur servit de
pierre, et le bitume leur servit de mortier. Et ils dirent : Allons,
bâtissons–nous une ville et une tour dont le sommet soit dans les cieux, et
faisons–nous un monument, de peur que nous ne soyons dispersés sur la face de
toute la terre.
Et l’Eternel descendit pour voir, la
ville et la tour que bâtissaient les fils des hommes.
Et l’Eternel dit : Voici, ils ne
sont qu’un peuple et ils ont tous une même langue, et ceci est le commencement
de leurs entreprises ; et maintenant, quoi qu’ils veuillent entreprendre,
rien ne les empêchera. Allons ! Descendons et confondons là leur langage,
de sorte que l’un ne comprenne plus le langage de l’autre.
Et l’Eternel les dispersa de là sur la
face de toute la terre, et ils cessèrent de bâtir la ville. C’est pourquoi elle
fut appelée Babel, parce que c’est là que l’Eternel confondit
le langage de toute la terre, et c’est de là que l’Eternel les a
dispersés sur la face de toute la terre ».
Lorsque quelqu’un se repent de ses péchés et s’identifie par la foi à Jésus Christ, l’agneau de Dieu, il est gratuitement justifié.
Il est donc évident que le groupe parlant le chinois a entendu le récit de la
création, de la chute et du déluge, pendant qu’il était encore en Mésopotamie
(Shinéar), et avant la dispersion de Babel.
C’est probablement leurs ancêtres ou Noé lui-même qui
leurs ont raconté ces histoires.
Pierre danis (En utilisant des sources
diverses)